Education des enfants

Faits et constats divers.
Le laxisme dans l’éducation a conduit à bien des dérives. Des parents qui laissent leur enfants se comporter comme des tyrans. Bruyants, turbulents, mal élevés, certains deviennent des délinquants.
Il fut une époque, les châtiments corporels étaient pratiqués dans les établissements scolaires. En général, c’était les voyous qui trinquaient. Ils ont été supprimés dans le public, mais maintenus dans le privé. Normal, les parents paient pour que leurs enfants reçoivent une éducation correcte, quitte à ce qu’ils reçoivent quelques gifles et des coups de pieds au fesses pour qu‘ils apprennent mieux leurs leçons.

Mais les parents d’aujourd’hui à la faible éducation, ont tendance avec leurs enfants, à en faire des amis, alors qu’il y a un lien de subordination naturelle qui leur interdit cela. Un parent ne doit jamais manifester d’état d’âmes et traiter son enfant comme un confesseur. Il ne doit pas traiter d’égal à égal avec lui. Certainement qu’il manque des structures pour apprendre aux parents à être parents.

Autrefois encore, quand un enseignant giflait un élève et que celui-ci allait se plaindre à ses parents, ceux-ci lui en mettait une aussi. Et ils allaient féliciter l’enseignant.
Aujourd’hui, vous avez des parents qui viennent en bande cogner l’enseignant qui a giflé un enfant, ou bien administré un double zéro à un devoir de contrôle.

Les parents d’aujourd’hui sont soit malades, soit ignorants, et hélas aussi peut-être les deux à la fois. La télévision qui joue le rôle de télé-nourrice y est pour quelque chose. Un enfant laissé seul devant la télévision  regarde des meurtres, des viols, des poursuites en voitures… Et dans la réalité, il reproduit la même chose quand ses pieds sont capables de toucher les pédales d’une voiture une fois installé au volant.
Le chômage qui conduit à la précarité a conduit à l’économie parallèle, le trafic de stupéfiant avec tout le cortège de féodalité que cela implique. L’Etat a sa part de responsabilité dans toutes ces histoires malheureuses. Il ne faut pas l’oublier.

Xavier Jaffré